Sarouel
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Sarouel, Sarouel Femme, Sarouel Homme
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De plus en plus de gens adoptent le sarouel comme vêtement de base. D’ailleurs, on le voit franchir les défilés de mode et s’imposer dans les grandes marques. Pourtant, le sarouel ne date pas d’hier. En effet, il a une histoire passionnante. Même si Thaisicha est spécialisée dans les sarouels thaïlandais, l’histoire du sarouel dépasse les frontières de la Thaïlande et ne vient d’un peuple sans nationalité précise. C’est un vêtement qui a beaucoup voyagé pour se forger cette réputation.
Le sarouel n’est pas née en Thaïlande, ni en Asie. Même si l’on le voit très souvent parmi les habits traditionnels de la Chine ou du Japon, en passant par l’Inde, il vient d’une autre culture totalement différente de ces continents. Sachez que les premiers à avoir inventé le sarouel sont les voyageurs et les marchands. On trouvait que les jupes et les robes n’étaient pas pratiques et on cherchait à diminuer le frottement des cuisses à la marche. C’est donc cette communauté de gens sans nationalité précise qui l’a créé. Ils ont tout simplement cousu deux morceaux de tissus qui revêtaient les jambes pour avoir plus de facilité et de confort au déplacement. C’est grâce aussi à leurs voyages qu’ils ont introduit ce nouvel habit d’abord en orient, en Asie et enfin en Amérique. L’arrivée en Europe fut par la mer et son côté pratique a séduit les hommes de pouvoir et les gens du peuple.
Avant même la naissance du Christ, le sarouel était déjà présent sous une autre forme qui n’a rien à avoir avec sa forme actuelle. Il ressemblait plus à une large jupe cousue entre les cuisses. Seulement, il n’était porté que pas une poignée de gens, des voyageurs pour la plupart. Dès son arrivée en Orient, les dirigeants ont été séduits par cet habit exotique et l’ont adopté en introduisant quelques modifications dessus. On l’ornait d’or, de pierres précieuses et de parures en tout genre. D’ailleurs, on le voit sur des femmes et des hommes de différentes classes sociales. Seule sa forme comptait. On distinguait son porteur à la valeur du tissu qui le composait et des ornements dessus. Néanmoins, l’âge d’or du sarouel s’est manifesté en Asie, où il était fabriqué avec de la soie, une matière assez chère à l’époque. Il a changé de forme et s’est adapté à toutes les cultures pour atterrir dans nos garde-robes sous sa forme la plus moderne qu’est le pantalon.
Il faut garder à l’esprit que le sarouel ne distinguait aucune classe sociale. Il a été porté d’abord par les marchands, ensuite par le peuple. On ne sait pas vraiment qui l’avait porté en premier, les rois ou les serviteurs. Ce qu’on sait par contre, c’est que la haute société Asiatique a présenté une petite résistance au sarouel en s’attachant aux longues robes qui les distinguaient. Pourtant, on a fini par craquer. On peut dire que cet habit a fait l’unanimité en réunissant tout le monde autour de ce besoin d’avoir un habit pratique, fluide et original. Il suffisait d’avoir un bout de tissu pour en faire un sarouel. Que ce soit en Afrique, en Asie ou en Europe, tout le monde s’est hué dessus et l’a personnalisé à son goût et ses moyens. Quelque soit le tissu, on pouvait en fabriquer un sarouel. C’est pour cette raison que les esclaves comme les rois, les hommes comme les femmes, les grands comme les petits l’on portait à une époque ou une autre.
Le sarouel a connu tellement de changements et d’évolution pour devenir celui qu’on connaît aujourd’hui. Au début, n’étant qu’une petite modification de la jupe bouffante, il est devenu un habit à part entière, imposant une forme particulière. Comme on ne peut pas le lier à une culture en particulier, on a tendance à croire qu’il y’en a plusieurs formes. Pourtant, il existe une forme ancestrale et ses bases sont restées inchangées. Il suffit de 3 composantes pour le former :
Quelque soit le modèle, le sarouel doit marquer la taille. Qu’on la cache par un haut large ou qu’on la met en valeur par un haut moulant, le sarouel s’en tape. Ce n’est pas un habit qui couvre le corps en entier pour commencer aux épaules et doit tenir quelque part. C’est la taille qui le tient et c’est là qu’il commence. Que ce soit par un élastique ou par une bande plate et large, il marque la taille et la met même en valeur. Selon les cultures et préférences, il peut se tenir en dessous ou en dessus du nombril.
Ce vêtement qu’est le sarouel n’est pas fait pour marquer les cuisses ou rehausser les fesses. D’ailleurs, il évite de montrer les formes du bas du corps par soucis de pudeur ou pour le côté pratique. Il descend avec fluidité le long des cuisses et vient s’échouer sur les chevilles. On peut le laisser cacher les pieds en étant généreux sur le tissu ou l’arrêter aux chevilles pour garder les pieds bien visibles. Quoiqu’il en soit, cet habit cache les cuisses et les jambes pour ne marquer que la taille et mettre l’accent sur d’autres atouts que les formes généreuses de la partie inférieure du corps. Ceci dit, vu que c’est l’ancêtre du pantalon moderne moulant et collé au corps, on peut dire qu’il a connu un réel changement au fil du temps. Toutefois, le mot « sarouel » reste lié à cette forme typique d’un habit qui ne met pas en valeur les cuisses.
Étant issu de la jupe, le sarouel a toutefois gardé cette fluidité. D’ailleurs, on ne le trouve pas dans des tissus qui limitent le mouvement des jambes et s’il le fait, ce n’est pas sa forme qui doit être incriminée, mais les ornements qu’on y ajoute. Si l’on ne prend en considération que le sarouel thaïlandais, aucune futilité n’y existe. Il a gardé son charme dans sa simplicité et la fluidité de son tissu. Il ne doit pas être signe de richesse et reste accessible au commun des mortels. Le sarouel thaïlandais est marqué par cette modestie habille le corps à moindre frais. Il descend le long des jambes avec une légèreté pour donner l’impression à son porteur qu’il est libre de ses mouvements.
Comme vous l’avez surement constaté, la différence d’un sarouel à un autre est le tissu. Si vous pensez que c’est ce qui le distingue, vous n’avez pas tellement tort ni tout à fait raison. En effet, on appelle sarouel, le vêtement à la forme typique du… sarouel ! Pour le tissu, c’est tout une autre histoire. Si auparavant, le choix de tissu trahissait la classe sociale, aujourd’hui ce n’est qu’une question de goût et surtout d’origine. On le retrouve dans différents tissus à savoir…
On apprécie tous cette matière naturelle et agréable qu’est le coton. Il laisse la peau respirer et offre plus de facilité de mouvement de part son élasticité naturelle. De plus, le coton est facile à travailler et est durable dans le temps. Il ne s’use pas facilement reste la matière de choix pour les sarouels thaïlandais, même si ce n’est pas ce qui distingue ce type de sarouel. Pour le sport ou le yoga, le coton est le meilleur choix de tissu pour le sarouel. Non seulement il laisse la peau respirer vu qu’elle transpire à cause de l’activité physique mais absorbe également la sueur et ne dégage pas de fortes odeurs comme les matières synthétiques.
Ce n’est surement pas la matière de prédilection des sarouels thaïlandais, et pourtant on en trouve des sarouels à base de soie. Cette matière importée de la chine est très prisée malgré son prix parfois exorbitant. La soie a été auparavant synonyme de richesse et a eu un succès énorme en orient et en Asie auprès de la haute société. Les femmes comme les hommes aimaient porter des sarouels en soie, simples ou imprimés, pour le côté brillant de la matière et surtout sa légèreté. Ça reste une matière naturelle qui dégage naturellement une bonne odeur. Toutefois, comme elle n’était pas facile à avoir ni à travailler, elle est restée réservée aux riches quelque soit la culture.
Le foulard n’est pas un tissu ancien et n’est surement pas aussi riche en histoire que le coton ou la soie. Pourtant, si vous voulez un sarouel fluide, aéré et surtout pour l’été, le foulard reste un choix judicieux. Toutefois, avec l’eau, ça a tendance à coller à la peau. Mais, ça sèche assez vite et c’est moins cher que le coton. Ceci dit, en coton ou en foulard, le sarouel thaïlandais est connu par sa forme et surtout sa/ses couleurs !
Si vous avez cette image du sarouel blanc bouffant que portaient les rois à l’époque, chassez-la de votre esprit. Le sarouel blanc n’était que pour les Chahs et les Beys du moyen orient et au Maghreb. Et encore, ce n’était que l’habit des gens du peuple de tous les jours. En effet, cette image qu’on associe souvent au sarouel est faussée par les films qu’on a regardés et par l’origine arabe du mot. Pour le sarouel thaïlandais dont il est question ici, c’est un grand éventail de couleurs et de motifs qui s’offre à vous.
Si vous aimez les choses simples et les habits sobres, vous pouvez avoir un sarouel thaïlandais dans les tons de beige, de blanc ou d’écru. Vous pouvez même l’avoir dans les tons pastel ou encore en noir ou marron. C’est assez élégant et ça se porte à merveille en été que ce soit le jour pour faire du yoga ou la nuit pour sortir. D’ailleurs, les couleurs uniques et sobres offrent un côté élégant au sarouel et lui confère un look simple qui va à tout le monde et qui se marie avec tous les hauts.
Si l’image des pantalons hippies vous vient à l’esprit, c’est que vous avez très bien compris. Sachez que le sarouel a été l’habit des hippies des années 60 à 70 pour sa légèreté, sa matière naturelle et son côté un peu rebelle. A l’époque, il sortait de l’ordinaire avec sa forme atypique qui ne ressemble en rien aux habits étouffants de l’époque. Les couleurs vives et les imprimés nature ajoutaient un côté exotique au sarouel et reste encore très appréciés aujourd’hui.
Un sarouel avec des imprimés ethniques, c’est vraiment typiquement thaïlandais. D’ailleurs, c’est ce qui le distingue du sarouel algérien à part sa forme. En Thaïlande, on est très fier de la culture thaïlandaise et on le montre à chaque fois que l’occasion se présente. Alors, quand il s’agit du pantalon typique, on met en avant toute la culture dans les imprimés ethniques.
Si vous n’avez pas encore opté pour le sarouel et que vous êtes encore attaché à vos jeans, leggings et pantalons de sports, laissez-nous vous vanter les mérites de ce sarouel qui a voyagé au cours du temps et a reçu l’appréciation des peuples à travers les siècles.
Contrairement au jean, la matière dans laquelle on fabrique le sarouel n’est pas rigide. Les coutures restent assez simples mais solides. D’ailleurs, cette légèreté de la matière vous donnera l’impression de ne rien porter.
Seul l’élastique en haut vous rappelle qu’il est là parce que pour le reste, vu qu’il n’est pas collé à votre peau, il n’y aura pas de contact avec cette dernière. A l’instar des jupes, le vent peut jouer avec le sarouel sans pour autant montrer vos charmes vu qu’il est cousu entre les jambes.
C’est pour cette légèreté et cette fluidité, ainsi que cette liberté dans le mouvement que les thaïlandais, un peuple connu pour sa zenitude et son amour pour la nature l’a adopté. C’est aussi pour ces raisons que les amateurs et experts en yoga l’apprécient.
Même si vous pensez que pour faire du yoga, il faut porter des leggings, sachez que vous avez tort. Le yoga veut dire se connecter à la nature. Or, avec les leggings, vous serez privé de la sensation de l’air qui embrasse votre peau et glisse sur vos jambes.
Il faut à tout prix que vous essayez le sarouel thaïlandais pour votre prochaine séance. D’ailleurs, avant d’acheter, faites l’expérience de faire du yoga sans pantalon. Si vous appréciez la sensation, sachez que vous aurez la même avec un sarouel en vous évitant la gêne d’être à moitié nu en public.
Ce n’est pas que pour le yoga qu’on apprécie le sarouel. Il a cette part d’élégance en soulignant la taille et cachant le reste que nul autre pantalon ne possède. Il faut essayer pour y croire !
Un sarouel thaïlandais, c’est aussi pour les jours difficiles, quand on n’a aucune envie de s’étouffer dans un jean ni la force de se raser pour une jupe. Par les jours difficiles, on parle aussi des jours chauds où le simple contact avec du tissu nous brule. Le sarouel thaïlandais, avec le mouvement de son tissu fin et léger, vous rapportera un petit peu de fraîcheur avec chaque pas.
Vous pouvez avoir un sarouel thaïlandais de n’importe quel site de vente en ligne. Mais, si vous voulez un pantalon fabriqué avec passion et qui renferme toute la magie de la culture thaïlandaise, il vaut mieux le prendre directement à la source. C’est un produit local et artisanal qu’on vous offre là et non pas un fabriqué à la chaine par des usines en chine qui n’ont pas d’âme. Cette nouvelle entreprise qui a vu le jour en Thaïlande, vous offrira des sarouels uniques et authentiques à des prix vraiment compétitifs.